Le Périscope est un lieu de vie dédié aux musiques innovantes. Composé d’une salle de concert, d’un club, d’un plateau de résidence, de locaux de musicien·nes et de bureaux de production, ses espaces regroupent toutes les étapes de la création artistique et favorisent la proximité entre musicien·nes, publics et professionnel·les du secteur. Actif dans le domaine des musiques issues du jazz et des musiques improvisées, le Périscope souhaite en effet offrir une expérience collective et spontanée, au cœur du processus créatif et de musiques innovantes.

▬ 𝐖𝐎𝐑𝐊𝐒𝐇𝐎𝐏 ▬
Retrouvez Mathieu Bec (batterie et percussions) et Xavier Charles (clarinette) au Périscope pour un workshop sur la musique en temps réel et sur l'improvisation !
Ces deux musiciens expérimentés et reconnus dans le large domaine des musiques improvisées nous partagerons leur manière d’aborder l’improvisation en musique.
Ce workshop de 3 heures sera articulé principalement autour de l’écoute, des outils de l’improvisateur.rice, du langage, du vocabulaire et de la manière dont on peut rendre musicale n’importe quelle matière ou objet qui nous entoure.
⇨ Ouvert à tout instrumentiste (chanteurs.euses compris.es) -peut importe le niveau technique instrumental ou la pratique de l’improvisation (« débutant.es » bienvenu.es!)-
⇨ Durée : 3h
⇨ Détails et inscription : https://www.lobster-lyon.com/.../workshop-musique.../
Participations limitées en nombre.


▬ 𝐆𝐑𝐀𝐍𝐃 𝐒𝐎𝐑𝐂𝐈𝐄𝐑 ▬
À l’initiative du guitariste protéiforme Stéphane Hoareau, le quintette Grand Sorcier mélange l’esprit du maloya et celui du free jazz… Deux musiques de résistance et de liberté !
Avec Sakina Adbou (saxophones ténor), Nicolas Stephan (saxophones ténor), Stéphane Hoareau (guitare), Leïla Soldevila (contrebasse) et Ianik Tallet (batterie).
Le projet Grand Sorcier est une nouvelle création du Label Discobole Records en partenariat avec le Théâtre Durance. C’est un Quinet instrumental dirigé & composé par Stéphane Hoareau qui y développe une esthétique autour des rites mystiques du Maloya à l’île de la Réunion, du sens social & politique de cette musique. Grand Sorcier est le sens du mot Maloya au Zimbabwe.
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/concerts/grand-sorcier/

C’est avec euphorie que Gérard Jugno 106 reconnecte la musique électronique avec le corps et projette le public dans un autre espace. Où Allister Sinclair prélève des sons acoustiques un peu partout triturés sur rythmes techno, Mael Gagnieux (Mycose), lui, offre une musique dansante, répétitive, basée essentiellement sur des samples acoustiques récoltés au quotidien.

A l’occasion du workshop de musiques improvisées proposé par AIL, Xavier Charles et Mathieu Bec, nous proposeront un concert le soir même de leur atelier.
Mathieu Bec joue de la batterie et des percussions. Xavier Charles joue de la clarinette. Ensemble ils improvisent, inventent la musique en temps réel.
En 2020, ils éditent leur 1er disque "Instiller" sur Bandcamp: https://mathieubec.bandcamp.com/album/i-n-s-t-i-l-l-e-r
▬ 𝐗𝐀𝐕𝐈𝐄𝐑 𝐂𝐇𝐀𝐑𝐋𝐄𝐒 ▬
Clarinettiste, improvisateur et compositeur.
Il est une figure incontournable de la scène des nouvelles musiques européennes. Virtuose irréprochable, il s’invente un langage unique et épouse les musiques les plus aventureuses. Il a développé des techniques inspirées par la matière, les sons du quotidien et par les langages musicaux contemporains. Ses expériences l’ont mené aux frontières de la musique improvisée, du rock noisy, de l’électroacoustique, du jazz, de la musique traditionnelle. Son travail d’improvisateur met en jeu la question de l’écoute et des façons de la renouveler.
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/artists/xavier-charles/
▬ 𝐌𝐀𝐓𝐇𝐈𝐄𝐔 𝐁𝐄𝐂 ▬
Batteur, improvisateur compositeur et écrivain.
Électron libre, son répertoire se situe entre le jazz, le free jazz, les musiques du monde.
Le plus souvent accompagné d’un set de batterie réduit ou des matériaux bruts qu’il façonne et collecte dans la nature, il questionne la physiologie du rythme et de la vibration sonore utilisée comme une palette de nuances…
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/artists/mathieu-bec/
▬ 𝐉𝐄𝐀𝐍 𝐓𝐈𝐍𝐍𝐈𝐑𝐄𝐋𝐋𝐎 ▬
Jean Tinnirello joue du saxophone baryton acoustique, seul en scène, défrichant l’immédiat par le silence et le son, l’invention de riffs entêtants traversant des déserts atonaux, puisant son énergie dans les bas-fonds de l’instrument jusqu’à ses extrémités les plus intimes.
Une invitation à explorer le présent autrement, le temps d’un moment partagé.
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/artists/jean-tinnirello/

▬ 𝐃𝐄𝐋𝐏𝐇𝐈𝐍𝐄 𝐃𝐎𝐑𝐀 ▬
Delphine Dora est une musicienne, compositrice, improvisatrice de France. Pianiste et vocaliste autodidacte, sa musique semi-spontanée s’est enrichie de nouvelles sonorités au fil des années, avec notamment un intérêt pour le travail de l’orgue d’église, le synthétiseur modulaire et les enregistrements de terrain. La voix est également l’un de ses instruments privilégiés (mise en voix et musique de textes et poèmes, esquisses ancestrales chantées dans une langue imaginaire, travail vocal en relation à l’espace, etc…).
⇨ A écouter ici : https://youtu.be/AzfdHUCIhS4
▬ 𝐒𝐄𝐁 𝐁𝐑𝐔𝐍 ▬
Batteur au jeu rugueux et singulier, il mène de front le label Carton Records et des projets engagés tels que Ar Ker, Parquet ou Horns. Il y travaille différentes installations de diffusion, d’amplification ou de systèmes électroniques.
Il travaille sur la répétition, les empilements, les superpositions, la distorsion du temps, les différences d’échelles et de perception.
Il a participé à plus d’une trentaine de disques (en solo ou sideman) sur Carton Records, Coax Records, Drugstore Malone, Discobole Records, Ayler Records, BMC, EMI…
Il accompagne également, Vincent Courtois, Fredérik Galliay, Joce Mienniel.
⇨ A écouter ici : https://youtu.be/m16prE48y5k

▬ 𝐂𝐇𝐑𝐈𝐒 𝐂𝐎𝐑𝐒𝐀𝐍𝐎 ▬
Batteur improvisateur américain basé au Massachusetts, spécialisé dans l’improvisation, il est considéré comme l’un des meilleurs batteur de sa génération. Remarqué par Bjork, il l’accompagne sur sa dernière tournée et participe à l’enregistrement de son dernier album, Volta. Il a collaboré avec de nombreux artistes et notamment avec le saxophoniste Paul Flaherty, mais aussi le groupe Sonic Youth.
⇨ A écouter ici : https://bit.ly/3QZ3m4t
▬ 𝐅𝐀𝐑𝐈𝐃𝐀 𝐀𝐌𝐀𝐃𝐎𝐔 ▬
Farida Amadou (née en 1989) est une bassiste autodidacte basée à Liège, en Belgique. La basse électrique est son instrument principal depuis 2011. En 2013, elle a commencé à jouer un grand nombre de différents genres musicaux, notamment le blues, le jazz et le hip-hop. Très vite, Farida a commencé à se plonger dans musique d’improvisation, et s’est rapidement fait repérer par le collectif et les musiciens locaux. Après une année 2017 en tant que bassiste dans le groupe punk belge Cocaine Piss, Farida a décidé de se concentrer sur sa pratique d’improvisation solo et sur des collaborations avec des musiciens comme Steve Noble, Thurston Moore, Peter Brötzmann, Floris Vanhoof, Julien Desprez et d’autres musiciens occasionnels comme Mette Rasmussen, Linda Sharrock, Chris Pitsiokos, Eve Risser, Alex Ward,
Jerusalem In My Heart,…
⇨ A écouter ici : https://bit.ly/3RdwJ36
▬ 𝐈𝐍𝐅𝐎𝐒 𝐏𝐑𝐀𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒 ▬
⇨ Jeudi 15 septembre à partir de 20h30
⇨ Billetterie : https://bit.ly/3aM0Jn5
⇨ Le Périscope
⇨ 13 rue Delandine, 69002 Lyon
•Métro A- Arrêt Perrache
•Tram T1/T2 – Arrêt Perrache
•Vélo’v – Station Place des Archives
•Bus C19, C21, C22, 8, 18, 31, 46, 49, 55, 60, 101, 103, 105/125, 185
⇨ https://www.periscope-lyon.com/

▬ 𝐌𝐄𝐑𝐈𝐃𝐈𝐀𝐍 𝐁𝐑𝐎𝐓𝐇𝐄𝐑𝐒 ▬
Meridian Brothers, tel un laboratoire de recherche musicale et d’expérimentations sonores, est surtout le projet solo d’Eblis Álvarez, jeune zazou de l’underground colombien. Venu de la musique classique et contemporaine, un temps exilé au Danemark, personnage atypique, il compose et joue de tous les instruments. Il est également membre de Frente Cumbiero (avec Mario Galeano), d’Ondatropica (avec Quantic) et de quelques autres projets encore plus étonnants les uns que les autres.
⇨ A écouter ici : https://bit.ly/3y9Zgys
▬ 𝐈𝐍𝐅𝐎𝐒 𝐏𝐑𝐀𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒 ▬
⇨ Mardi 20 septembre à partir de 20h30
⇨ Billetterie : https://bit.ly/3aM0Jn5
⇨ Le Périscope
⇨ 13 rue Delandine, 69002 Lyon
Métro A- Arrêt Perrache
Tram T1/T2 – Arrêt Perrache
Vélo’v – Station Place des Archives
Bus C19, C21, C22, 8, 18, 31, 46, 49, 55, 60, 101, 103, 105/125, 185

Après 25 ans de loyaux services, le label SK Records concentre son énergie pour conceptualiser sa trépanation en forme d’explosion maximum. Au programme : Andrew Dymond c’est le one piano man band, Cantenac Dagar et leur musique indus, brute et organique, sans commencement ni fin, le duo Rature qui navigue entre le rock, le punk , la musique transe et le free-jazz et enfin Louis Jucker et son solo folk expé.

Enablers + Fugues
En partenariat avec Dur & Doux et Bigoût
Plages harmoniques hypnotiques et incarnations poétiques, Enablers fait office de référence sur la scène rock indé. Heritiers des années 90, leur marque de fabrique entre post-rock et spoken word a traversé les âges grâce à des prestations scèniques toujours percutantes. De son côté, le nouveau combo lyonnais Fugues œuvre modestement à ce que le rock reste aussi libre que possible et nous offre un avant-goût de ce parti pris entre rock, noise et shoegaze.

Du Vent dans les Cordes | Payen, Ducret, Hélary & Pifarély
Stéphane Payen nous offre un quartet qui célèbre l’œuvre de l’incontournable auteur afro-américain James Baldwin. Sans textes ni voix, le saxophoniste nous propose une musique finement ciselée au lyrisme surprenant.

Avec Stéphane Payen (saxophone, composition), Marc Ducret (guitare), Sylvaine Hélary (flûtes) et Dominique Pifarély (violon).

▬ 𝟓𝟎𝟎 𝐌𝐈𝐋𝐄𝐒 ▬
500 miles est un trio fondé à l’automne 2020. Liberté, improvisation et mélodie, le groupe vous invite à découvrir son univers électrique et moderne avec des compositions reflétant leurs diverses influences et leurs personnalités.
▬ 𝐄𝐍𝐕𝐎𝐋𝐔𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐓𝐑𝐈𝐎 ▬
Le groupe est né à la suite de sessions acoustiques organisées pendant la pandémie de 2020. C’est donc dans le petit 20 m2 d’un des musiciens qu’a commencé l’aventure Envolution, d’où un son de groupe résolument intimiste ! Les compositions du trio Envolution s’inspirent des œuvres littéraires d’Alain Damasio et d’autres artistes des mouvances fantaisies et SF. Les styles musicaux se mêlent les uns les autres, allant d’un jazz empreint de mysticisme de musiciens comme Lee Konitz, Kenny Wheeler ou Bill Frisell à la musique folk des cultures celtiques et des pays de l’Est.
⇨ A écouter ici : https://youtu.be/Ie2adpQ3NiY

▬ 𝐉𝐎𝐔𝐑 𝟒 ▬
Cette dernière soirée carte blanche au label lyonnais Bigoût Records se drapera d’une énergie synthétique avec Camilla Sparksss et Lovataraxx. Moitié du duo Peter Kernel, la canado-tessinoise Barbara Lehnhoff se mue en Camilla Sparksss, pour un solo d’hyper pop, dopé par l’énergie des synthés. L’inspiration cold-wave de Lovataraxx viendra jeter des glaçons sur le feu de cette ambiance imprévisible, tandis que Radio Dio s’occupera de lancer la soirée de son savoir-faire : une discussion croisée avec tout ce beau monde en terrasse et un dj set en guise de rampe de lancement des hostilités.
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/concerts/camilla-sparksss/
▬ 𝐀𝐕𝐄𝐂 𝐑𝐀𝐃𝐈𝐎 𝐃𝐈𝐎 𝐄𝐓 𝐁𝐈𝐆𝐎𝐔𝐓 𝐑𝐄𝐂𝐎𝐑𝐃𝐒 ▬
Libre, sauvage et impertinente, Radio Dio est depuis 40 ans le mégaphone des contre-cultures. Basé à Saint-Etienne c’est une radio de terrain, composée d’animatrices et animateurs qui prennent le partie des cultures alternatives et jouent le rôle de passeurs sur la scène locale. C’est en toute logique que Radio Dio animera donc cette soirée qui donne carte blanche au label et disquaire Bigoût records, un label au cœur des centres d’intérêts de la radio : le DIY sans concession, qui bouscule sur son passage.

▬ 𝐑𝐄𝐋𝐀𝐗 ▬
C’est l’été au Périscope, et l’été c’est RELAX !
𝓓𝓳𝓼, 𝓬𝓸𝓷𝓬𝓮𝓻𝓽, 𝓶𝓲𝓬𝓻𝓸-𝓶𝓪𝓻𝓴𝓮𝓽, 𝓽𝓮𝓻𝓻𝓪𝓼𝓼𝓮.
Alors pour s’assurer que tout le monde soit sur la même longueur d’ondes, Le Périscope vous propose 3 jours pour venir flâner au Périscope en présence d’invité-es de marque. A savoir : vos fournisseurs locaux de musiques d’exceptions, les disquaires Sofa Records, Unité Centrale et The Sounds of Music. Mais aussi de quoi flâner sur quelques stands de fripes et de créations avec Arénicol, MCW, Cadavresky et Erotic Market Dressing. Nous n'avons pas pu résister à l’envie d’ajouter un peu de live par-dessus tout ça, avec un concert de Rio Azul a.k.a Raymonde + Bear Bones Lay Low.
Rendez-vous au Périscope !


Sc’ööf est un groupe expérimental qui façonne de façon radicale son propre langage sonore. Il vous sert des goûts musicaux directement en plein visage. Son penchant pour des rythmes captivants et répétitifs et des curieux genres de groove, ainsi que son énergie excessive sur la scène, font de sa musique une expérience physique et un pur plaisir.

Solar Ship est un navire musical qui a pris le large depuis les côtes du Black Stone Orchestra. Issu de ce big band remarqué en France et à l’image de la scène Clermontoise, Solar Ship garde l’énergie du collectif pour s’essayer à une formation plus réduite. L’essai est évidemment une réussite, notamment grâce à la chaleur des cuivres (sousaphone et saxophones) qui improvisent une danse sur une rythmique contrebasse/batterie toujours à l’aise avec l’improvisation. A vous de partager avec les musiciens du combo cette exploration musicale du jazz jusqu’aux rythmiques afro, rock ou encore hip-hop.

• Avec Franck Pilandon (saxophones), Adrien Daguzon (saxophones), Pierre Larrat (sousaphone), Antony Miranda (batterie).

Le saxophoniste Michel Fernandez sera au Périscope en format quartet à l’occasion de son nouvel album « Global Warning ». Musicien du coin au parcours international, Michel Fernandez a croisé la route du free jazz des années 60 et de ses grandes figures. Il tisse dans son travail de création un lien entre le jazz, le blues mais aussi les cultures des caraïbes et de l’afro-beat notamment par ses nombreuses collaborations avec des musiciens nord-africains. Son retour avec cet album marque un nouveau chapitre dans sa carrière, par un message artistique et politique face à la complexité du monde moderne.

Michel Fernandez (sax ténor) sera accompagné de François Gallix (contrebasse), Benoît Thévenot (piano & clavier) et Nicolas Serret (batterie).

▬ 𝐏𝐑𝐄𝐌𝐈𝐄𝐑𝐄 𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄 ▬
A retrouver en première partie !
Salah / SZ
Yazid / Na2S
Adlene / AL
Yliane / YZR
▬ 𝐃𝐄𝐔𝐗 𝐋𝐘𝐑𝐈𝐂𝐈𝐒𝐓𝐒 ▬
Activistes forcenés de la scène rap lyonnaise et membres du collectif « La Mégafaune », Deux Lyricists squattent les scènes de Rhône-Alpes et de France depuis le début des années 2010 avec un rap énergique, éclectique et puissant qui nous fait bouillonner à grand renfort de punchlines introspectives, de mauvaises blagues et de textes soigneusement travaillés.
Après une longue collaboration scénique avec le trio instrumental Cas D’Ecole, ils reviennent sur scène avec une formule plus légère pour présenter les tracks tout frais de leur dernier EP « Intramuros » et d’autres petites pépites en exclusivité.
Venez découvrir sur scène un duo expérimenté et expérimental à l’énergie débordante.

▬ ¡𝐈𝐏𝐄𝐑𝐄𝐌𝐄! ▬
Après un long voyage en Argentine où Manon chanteuse et pianiste s’imprègne des couleurs et des rythmes de la musique traditionnelle argentine et du tango argentin, elle s’inscrit au conservatoire de Lyon et commence à étudier le piano jazz. Son projet !Ipereme¡ est la réunion de toutes ses influences acquises lors de son parcours, le jazz par ses harmonies et ses couleurs, la pop dans les mélodies, et la musique du monde dans ses métriques et ses textes écrits uniquement en espagnole inspirés des paroles des standards de la musique latine comme la Cumbia, la chacarera et la Zamba argentine.
▬ 𝐄𝐐𝐔𝐈𝐍𝐎𝐗 ▬
En parallèle à sa carrière émergente de chanteuse RnB, Elodie Mam’s se dévoile en tant que chanteuse-pianiste sous un autre jour, inspirée de jazz et néo-soul. Elle compose, arrange et interprète des morceaux d’artistes tels que Moonchild, Gretchen Parlato, ou encore Ashley Henry. Découvrez cette nouvelle couleur qu’apporte Equinox remplie de douceur, de joie et d’amour !

Imperial Quartet serves us an organic material, inspired as well by traditional music, trance music as by the energy of rock, serves as a rhythmic breeding ground for aerial melodies and other lyrical flights of fancy. Imperial Quartet serves us an organic sound material, inspired as well by traditional music, trance music and sometimes rock energy. To this, their music adds a real rhythmic breeding ground that gives their melodies a truly unique energy. Imperial Quartet takes us in a movement worthy of a popular parade between Afro-American and Cajun music and goes straight to colorful experiences, as festive as sometimes psychedelic.

With Damien Sabatier (alto saxophone), Gérald Chevillon (tenor saxophone), Joachim Florent (double bass) and Antonin Leymarie (drums).

Borrowing its name from the album of the English group The Zombies, released in 1968, the Odessey & Oracle project continues to explore the paths traced at the end of the 1960s by English and American psychedelic groups with a particularly flowery style, sometimes described as “Pop Baroque”. Far from a “revival” type of aesthetic research, the trio is inspired by a certain freedom of those optimistic years when experimentation was everywhere and heretical approaches were popular with the crowds. Drawing their influences as much from the ancient classical repertoire (baroque, renaissance, medieval…) as from more contemporary electric music, the compositions with elaborate arrangements leave a great deal of room for counterpoint and hybrid instrumentations, using both ancient instruments (viola da gamba, baroque cello, ancient flutes…) and more modern specimens (electro-mechanical pianos, dobro guitar, banjo, analogue synthesizers…).

Fanny L'Héritier : Electric pianos, Analog Keyboards and Vocals
Guillaume Médioni : Guitars, Analog synthesizers and Vocals
Mathilde Bouillot: Flute, Keyboards and Vocals  
Guillaume Bertrand: Drums


▬ 𝐁𝐀𝐔𝐌𝐒𝐂𝐇𝐔𝐋𝐄 ▬
Ce concert est proposé dans le cadre d’un partenariat AJC – Pro Helvetia, pour accompagner la présence d’artistes suisses en France.
Derrière son apparente immobilité, Baumschule est foisonnante. Derrière l’arbre se cache la forêt.
Le trio nous invite en quelque sorte à développer deux modes d’écoute simultanés d’écoute : l’une qui se concentrerait sur le développement instantané des motifs musicaux ; l’autre, basée sur la mémoire des formes, qui se concentrerait sur le lent déroulement de la musique.
Avec Raphael Loher (piano), Julian Sartorius (batterie) et Manuel Troller (guitare).


▬ 𝐉𝐎𝐔𝐑 𝟏 ▬
A la frontière de la pop ou à la lisière de l'électro, cette première soirée de Radio Terrasse invite Sarah Terral (Clément Vercelletto en solo) et Catalina Matorral (Borja Flames et Marion Cousin). Ces deux concerts mettront à l’honneur la scène française des marges, celle pour qui la musique doit être une surprise sans cesse renouvelée. C’est donc ∏Node radio qui se placera en maître de cérémonie de cette soirée, avec en renfort des interviews, playlists et surprises pour animer la terrasse dès 18h !
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/.../sarah-terral-catalina.../
▬ 𝐀𝐕𝐄𝐂 ∏𝐍𝐎𝐃𝐄 𝐑𝐀𝐃𝐈𝐎 ▬
Plateforme radiophonique hors-du-commun, ∏Node est un regroupement hybride d’artistes, journalistes et créateur·rices sonores qui émet sur le web et sur le DAB+ à Paris et Mulhouse.
A cette occasion, ∏Node invite le collectif Afro-feministe Sawtche pour échanger sur la vie et les luttes du collectif.

▬ 𝐉𝐎𝐔𝐑 𝟐 ▬
A deux, c’est toujours mieux. C’est tout du moins cet avis bien tranché que partage les deux duo de cette soirée. Il s’agit de Raw Fish, duo porté par notre chouchou, (mais ne lui dites pas en ces termes) le guitariste danois Teis Semey que nous suivons de prêt dans ces multiples projets. Mais aussi de Osilasi, une rencontre harpe / percussions pour ces musiciennes qui puisent leur énergie dans les musiques de transe et musiques traditionnelles. Un voyage garanti, au départ du Sud de la France avec Radio Micheline qui ambiancera la terrasse dès 18h !
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/concerts/osilasi-raw-fish/
▬ 𝐀𝐕𝐄𝐂 𝐑𝐀𝐃𝐈𝐎 𝐌𝐈𝐂𝐇𝐄𝐋𝐈𝐍𝐄 ▬
Basée à Montélimar et Nyons, Radio Micheline, c’est la bonne copine sur qui on peut compter : toujours un artiste à faire découvrir, des gens cool à vous faire rencontrer et un savoir-faire hors du commun pour mettre l’ambiance.

▬ 𝐉𝐎𝐔𝐑 𝟑 ▬
Les objectifs visés sont assez clairs : de la super musique, une super soirée et une super ambiance. Autant convier directement des professionnels pour réaliser cette (super) tâche, nous avons nommé Supergombo. Laissez-vous donc porter pour cette soirée par l’afro-funk futuriste de la formation lyonnaise, entre sonorités rétro et bande-son futuriste du dancefloor. Un programme qui ne saurait être complet sans la présence nécessaire la radio partenaire des (super) bringues, à savoir Radio Nova qui ouvrira le bal dès 18h sur la terrasse et sur les ondes !
⇨ A écouter ici : https://www.periscope-lyon.com/concerts/supergombo-3/
⇨ A l'occasion de la dernière de la saison Super Nova, on vous invite à venir écouter tout ça par ici : https://www.nova.fr/radios/nova-lyon/
▬ 𝐑𝐀𝐃𝐈𝐎 𝐍𝐎𝐕𝐀 ▬
Avec Radio Nova, retrouvez chaque jour l’actu culturelle lyonnaise et musicale. Gold, groove, funk, disco, électro, hip-hop, sono mondiale… Une multiplicité cohérente, des mix choisis à domicile, sans restriction de styles.

Concert Inattendu
A l’occasion de la 13e édition du Festival Les Inattendus, les Concerts Inattendus vous proposent de prolonger les projections du festival par des concerts hors normes : Voyagez à travers la Colombie et l’Argentine avec Tortuga Alada et leur exploration de la musique improvisée et de la composition instantanée. Un concert qui convie un artiste d’exception à l’occasion d’une collaboration unique avec Ingebrigt Håker Flaten, bassiste incontournable de nos scènes artistiques et fondateur de The Thing et du super groupe Atomic.

Musique de chambre à ciel ouvert : 
La Tortuga Alada (la tortue ailée) est un animal imaginaire dont l’anatomie particulière nous attire vers un être ambigu qui s’agite et se trouve en apesanteur. Sur ces deux antipodes se trouve le projet musical créé en 2017 par la saxophoniste et clarinettiste colombienne María Valencia et la violoncelliste argentine Violeta García, qui dépassent la rigueur du jazz et de la musique de chambre contemporaine, plaçant leurs explorations à la limite de la musique improvisée et de la composition instantanée.

Grâce aux croisements, liens et amitiés à travers la musique, María et Violeta ont rencontré Ingebrigt Håker Flaten (directrice du label Sonic Transmissions), et Clément Dupuis (directeur de Dur et Doux), et ont pensé à l’idée de créer des alliances qui renforceraient ces liens. C’est ainsi qu’est née l’idée de sortir cet album collectivement avec ces deux labels, un acte qui transcende l’idée d’une alliance économique et renforce plutôt les liens d’amitié.

 
María Valencia (saxophone et clarinette)

Violeta García (violoncelle)

Enjambées stylistiques
Le bassiste, improvisateur, compositeur et chef d’orchestre norvégien primé Ingebrigt Håker Flaten est à l’avant-garde de la musique créative moderne dans son pays natal, la Norvège, et sur la scène internationale depuis le début des années 1990. Peut-être plus connu comme membre fondateur du super groupe scandinave Atomic, Håker Flaten a fusionné les explorations et les expérimentations du post-free jazz avec l’utilisation habile d’attributs de nombreux autres idiomes dans d’innombrables collaborations, groupes et projets.

Praticien novateur de la contrebasse et de la basse électrique, Håker Flaten a étudié au programme de jazz « Jazzlinja » de l’Université norvégienne des sciences et de la technologie de Trondheim. Très tôt, il s’est fait remarquer en faisant partie des groupes The Source et Element, ce dernier formé avec ses camarades de classe et ses collaborateurs de toujours, Paal Nilssen-Love et Håvard Wiik. Nilssen-Love et Wiik rejoindront plus tard Håker Flaten dans Atomic, que les trois Norvégiens ont formé avec les deux suédois Magnus Broo et Fredrik Ljungkvist. Atomic, qui a fait ses débuts sur disque en 2001, a depuis été célébré et chéri par les amateurs de jazz et les critiques.



Originaire d’Amsterdam, Jungle by Night est un parfait mélange d’éthio-jazz, d’afrobeat et de funk. Proposant des live explosifs, qui au-delà d’un spectacle, dégagent de véritables fêtes ! Leur musique apparaît addictive pour tous ceux et celles qui frôlent la piste de danse.

Après une salle complète en 2019, ils seront de retour au Périscope le jeudi 6 avril !

Monsieur Marcaille s’associe avec 6 autres musicien.nes pour créer un groupe : un amour pur et inconditionnel pour le rock & roll et une bande de bons amis, c’est vraiment tout ce qu’il faut pour démarrer un groupe qui déchire. C’est ainsi que Benoît, Christophe, Eric, Justin, Laura, Laurent  et William et se sont associés pour créer Foudre Rockeur. Avec Arnaud à la basse, ce groupe réinvente la chanson de manière punk et dadaïste. Le répertoire évolue entre reprises expérimentales, improvisations rock, transe voodoo et variétés. Le tout à la sauce bien personnelle du groupe. Ce spectacle énergique et efficace donne à coup sûr l’envie de taper du pied et de danser.

Ils partageront la scène avec Bronzy Mc Dada pour un solo performatif très peu classable ! Show must go on

« NUIT » est le premier EP solo de la musicienne française VILLEMIN. Composé de cinq titres originaux mêlant le piano à des textures électroniques, elle y dépeint un paysage nocturne et mystérieux, habité par des sonorités éthérées et parfois proches de la voix humaine. 

« Un long travail de façonnage sur le synthétiseur analogique a été nécessaire pour pouvoir rendre plus vivantes ces nouvelles sonorités, en leur apportant de la respiration et du mouvement libre mais aussi quelques imperfections comme du souffle, des attaques imprécises, des râles. J’ai souhaité qu’elles aient quelque chose d’archaïque, entre le gémissement, le chant psalmodié et le soupir.»

Chants de sirène et basses distordues
Autour de tournes de batteries répétitives et de bouts de mélodies romantiques, ce trio cherche sa propre transe entre chants de sirène, basses distordues et batterie marteau. Le corps se laisse alors emmener par les pulsations hypnotiques, appuyées de sons de machines hantées et rattrapées par des nappes sonores synthétiques.

Le trio TRIBALISM3 utilise autant un langage simple et planant que précis et répétitif. Les trois membres, étant également improvisateurs, peuvent ainsi créer n’importe quelle langue, circuler à l’intérieur et s’y exprimer librement.

 
Yann Joussein (batterie, composition)

Luca Ventimiglia (synthétiseur)

Olivia Scemama (basse)

Un dialogue sans voix
Francesca a rencontré Ralph Alessi à New York en 2011. A eux deux, ils ont pu imaginer leur propre langage. Connaître et respecter la tradition est certes essentiel, mais affirmer sa propre personnalité musicale par la composition et l’improvisation est primordial, et finalement, l’essence même du Jazz.

Ralph aura véritablement été, pour Francesca, l’un de ceux qui ont ouvert les portes à une composition plus libre, un lâcher-prise dans son approche de l’improvisation, à une musique moins standardisée.

Après bien des reports, c’est à l’automne 2021 que Francesca a finalement pu inviter Ralph pour faire vivre un répertoire original lors d’une belle session au studio de La Buissonne.

La sortie de ce projet est prévue à l’automne 2022.

Francesca Han a commencé très jeune l’apprentissage du piano dans sa Corée natale. Après des études universitaires en musique classique et composition, elle se plonge dans l’apprentissage du jazz et fait rapidement des débuts prometteurs sur les scènes de Séoul.

 
Francesca Han (piano, compositions)

Ralph Alessi (trompette, compositions)

Les bons plans venus de Norvège
Emmeluth’s Amoeba est un quartet danois/norvégien révolutionnaire composé de quatre des musiciens les plus passionnants de la scène scandinave actuelle. Le groupe a effectué de nombreuses tournées au cours des quatre dernières années, notamment des concerts au Copenhagen Jazz Festival, Nattjazz (festival de jazz de Bergen), Summer Bummer Festival (Anvers), pour n’en citer que quelques-uns. Avec une musique créative qui passe du free jazz aux formes de la musique de chambre avec une énergie féroce, il est difficile de ne pas être touché.

Le pianiste Christian Balvig s’est fait remarquer à la fois comme musicien, à la tête de son propre groupe et en jouant avec le colossal supergroupe danois Efterklang, ainsi qu’en composant de la musique pour de grands orchestres comme l’Orchestre philharmonique de Copenhague.

Le guitariste Karl Bjorå est une voix forte sur la scène de la musique improvisée et il a enregistré et fait de nombreuses tournées avec ses propres groupes Megalodon Collective, Yes Dei et Dei. Il a enregistré et fait de nombreuses tournées avec ses propres groupes Megalodon Collective, Yes Deer et Aperture pendant des années à travers l’Europe, les États-Unis et l’Asie.

Le batteur Ole Mofjell est une force de la nature, jouant avec Thurston Moore en duo, ainsi qu’en tournée avec les légendes de l’enregistrement ECM, Jon Balke et les Norvégiens.
légendes de l’enregistrement ECM Jon Balke et le guitariste norvégien Hedvig Mollestad.

Enfin, leader et principal compositeur du groupe Emmeluth’s Amoeba, Signe Emmeluth a laissé une forte empreinte sur la scène au cours des cinq dernières années en jouant avec Kresten Osgood et en faisant partie du Trondheim Jazzorkester et du Supersonic de Gard Nilssen.

 
Signe Emmeluth (saxophone, composition)
Karl Bjorå (guitare)
Ole Mofjell (batterie)
Christian Balvig (piano)

La tête dans les étoiles
Saxophoniste prometteur, Léon Phal fait partie de cette jeune génération de musiciens de jazz biberonnée aux classiques, dont il s’affranchit tout en leur rendant hommage à chaque note avec brio, qu’il s’agisse du RH Factor de Roy Hargrove ou du « Voodoo » de D’Angelo. Entouré de ses complices de toujours, sa maîtrise de l’instrument, son sens inouï de la mélodie et la délicatesse de ses compositions amplifiées par un groove dévastateur, présagent un bel avenir à ce franco-suisse originaire de Aÿ en Champagne.

Une fraîcheur et un talent qui n’ont pas échappé aux festivals Nancy Jazz Pulsations et Jazz à Vienne, dont il est coup sur coup le lauréat des tremplins 2019. Sacré « Révélation » par les magazines Jazz News et Jazz Magazine pour la sortie de son premier album « Canto Bello », Léon Phal est à la tête d’un génial quintet dont les influences et l’imagination inspirent des improvisations remarquables.
S’il flirte déjà dans la cour des grands du jazz contemporain, nul doute que son souffle, sa curiosité et son esprit libre le mèneront loin.

 
Léon Phal (saxophone)

Zacharie Ksyk (trompette)

Gauthier Toux (claviers)

Arthur Alard (batterie)

Rémi Bouyssière (contrebasse)

Sweet Isolation
Oscar Jerome a perfectionné ses talents de musicien et d’écriture depuis son plus jeune âge. Il a grandi en tant que guitariste, mais aussi chanteur et compositeur de nombreuses formations de la scène musicale florissante du sud de Londres.

Dans son projet solo, Oscar Jerome mélange toutes ses influences : des artistes comme Gil Scott-Heron, George Benson, John Martyn, The Clash, Ali Farka Toure et Jay Dilla. Il puise son inspiration dans la politique, la spiritualité musicale ou ses propres expériences pour ses textes. Sa vision créative est de toujours créer une musique sincère tout en rendant hommage à ses innombrables inspirations.

Avec une performance live acclamée qui l’a conduit sur de nombreux shows comme le prestigieux Blue Note Jazz et Le Poisson Rouge à New York, Oscar Jerome poursuit son ascension.

Ses compositions récentes le voient s’ouvrir et explorer de nouvelles facettes de lui même.
 
Oscar Jerome (chant et guitare)

Joëlle Léandre & Rodolphe Loubatière
Voici une rencontre excitante, entre deux musiciens que nous apprécions particulièrement. C’est en ces termes que le batteur Rodolphe Loubatière nous a parlé de ce projet :
C’est avec ces mots en tête de Joëlle Léandre extrait de son livre « A voix basse » que lors de notre dernière rencontre je lui ai proposé de partager : «…ce désordre, ce riche désordre, ce chaos même qui me donne du fil à retordre, des sons à malaxer, des cordes à tirailler. Il y a là un travail immense de liberté, donc de responsabilité. Vaste sujet !» Tout est dit, il ne nous reste plus qu’à partager notre musique pour ce concert.

Where is Mr. R ?!
Le trio Where is Mr. R ?! creuse de nouvelles combinaisons de sons et trouvent des formes de musique nouvelle génération : post-jazz, post-free, post-contemporain… Basile Naudet (saxophone alto/tables de mixage), Luca Ventimiglia (vibraphone/électronique) et Augustin Bette (batterie) sont sans cesse en quête de processus de jeu inédits sans oublier que le futur est devant nous, pas à côté, pas n’importe où, juste devant, exactement !

Suzanne tire la manche de Léonard Cohen, et tire son premier EP du prénom de Berthe, l’estimée aïeule, que tout le monde appelait Maryse. La fleur à la mémoire, et pas qu’au fusil donc, Maëlle Desbrosses, Hélène Duret, et Pierre Tereygeol composent Suzanne et s’orchestrent gaiement pour se jouer des patronymes et des figures qui vaquent derrière les miroirs.

Il y a des reflets dans les perles, et des perles dans les coffres, alors ensemble ils déménagent, conjuguent cordes, clés, crins, bouts, souffles, et jeunes ficelles pour se dépoussiérer du chambrisme. Au fil d’une approche acoustique, les voix s’échappent et nous transportent dans un univers de folksongs au plus près de soi-même. L’écriture y déroule des séquences où on navigue entre courants impressionnistes et foins d’été pour beatniks en quête de baume du tigre. On se laisse alors guider par cette main qui nous emporte le long des berges d’une rivière imaginaire, au gré des fredonnements et des remembrances.  Et s’il y avait du Jodel, on crierait au frelon tyrolien, mais ça n’a rien à voir, les espaces d’improvisation touchant plutôt à l’élégie qu’aux canons syllabiques.

Ce trio assume une instrumentation singulière et procède sans trucages, par touches, mouvements fugitifs, à la manière d’un Paul Klee usant d’une ironie toute romantique. Le ressort ludique n’est convié ici que pour bousculer les prérequis, et faire vriller les trajectoires. « – Léonard, tu dors mon chéri ? »

Écrit par Robin Mercier.

 
  Maëlle Desbrosses (alto, voix)

 Pierre Tereygeol (guitare, voix)

 Hélène Duret (clarinettes, voix)

Blind IO
Pour ce nouveau projet, Teun Verbruggen a choisi une formation sans doute inhabituelle, mais qui fait appel à l’imagination. Cette carte blanche est composée de musicien-ne issu-es d’horizons totalement différents et qui amènent une nouvelle facette dans la musique du batteur.

Avec Ingrid Laubrock (saxophone), Bram De Looze (piano), Ikue Mori (ordinateur/électro) et Teun Verbruggen (batterie).

Zappe Satie
Plus de 40 ans de carrière, une vingtaine d’albums sous son nom et une multitude de projets, le guitariste-compositeur Pierrejean Gaucher n’a jamais caché ses influences, notamment celle de Frank Zappa.  Aussi, 20 ans après son Zappe Zappa, il réitère cette démarche, cette fois-ci autour de l’univers musical d’Erik Satie, précurseur des musiques du XXème siècle. 

Avec Pierrejean Gaucher (guitare), Quentin Ghomari (trompette), Thibault Gomez (piano électrique), Alexandre Perrot (contrebasse), Ariel Tessier (batterie).

Les Cadences du monde est un voyage sonore signé Louis Sclavis. Une musique écrite, improvisée, folklorique, contemporaine, jazz, musique de chambre, du monde, associée au plaisir de combiner les genres et les personnalités diverses.

Avec la violoncelliste Annabelle Luis, le violoncelliste tout terrain, Bruno Ducret et le percussionniste classique iranien Kevyan Chemirani.

Ce n’est pas un, ni même deux mais bien trois live pop folk qui vont seront proposés lors de la soirée du POP CLUB. Place à la fête !

A l’orée de l’automne 2022, le Quatuor Lebrat Genthon Bosshard Schwab s’engage sur une nouvelle tournée riche de la diversité et de la transversalité de leurs différentes expériences. Elles développent une écriture qui s’ancre dans une volonté de son d’ensemble fait de la convergence et de la superposition de sonorités complémentaires. En découle une matière sonore qui se déploie continuellement, vivante et mouvante à l’intérieur même de sa propre transformation.

Avec Marie Schwab (alto), Solzic Lebrat (violoncelle), Anouck Genthon (violon) et Patricia Bosshard (violon).

Ce sera la fête le samedi 26 novembre … et pour cause : la sortie du premier single de Jasual Cazz est imminente ! Nous fêterons cet heureux événement au Périscope et les Jasual Cazz vous embarqueront pour un voyage dans leur univers rétro-futuriste.

Volume à fond dans le cockpit de la navette, les vinyles de Herbie Hancock et de Cassiopea résonnent dans le vide intersidéral. Les sales gosses de Jasual Cazz ont le jazz-fusion dans le sang, et sont bien décidés à le défendre avec sincérité. Après avoir cultivé leur virtuosité sur une console de jeux toujours allumée, ils se sont mis en tête de repousser les limites du jazz actuel.

Depuis toujours Alexis Degrenier cultive une rare capacité à naviguer entre les siècles et les continents, tissant des liens insoupçonnés entre des mondes sans rapports apparents. Ce qui le fascine depuis l’enfance ? Les musiques à bourdons ; les musiques traditionnelles, d’abord extra-européennes, pour revenir aux musiques traditionnelles du Massif Central qu’il ne cesse de creuser depuis quelques années pour y trouver d’infinies ressources.

Cortex
Thomas Johansson, Kristoffer Berre Alberts, Ola Høyer et Dag Erik Knedal Andersen jouent avec simplicité et sans ornements, ce qui donne tout l’espace nécessaire à l’improvisation. L’intensité de ce quartet norvégien n’a pas fini de vous surprendre.



L’autoroute blanche, la piscine le dimanche, le Mont Saint Michel… tous entrent en scène, Cyril Cyril agite la boule à neige, Helvet underground comme on les appelle. Le dimanche de Cyril Cyril est une transe, on arrive, les gens se rassemblent. Les samples vocaux, hésitent, gémissent un peu, Miami Beach, OK let’s go.

Avec le Centre culturel suisse. On Tour à Lyon (10-21 janvier 2023) et le soutien de la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia.

Composé entre France et Sénégal, le nouvel album Liberté Mom Sa Bop est produit par Babel Arts sur le label NarRator Records.

Cet opus énergique et éclectique célèbre la vie dans toute sa splendeur !

Tout en restant dans la continuité de ses dernier disques, Ibrahima Cissokho poursuit son chemin de griot moderne et de musicien nourri de mixité : rock, jazz, blues africain.

Il propose ici 9 compositions originales ainsi qu’une mise en musique d’un poème de David Diop 
« Afrique mon Afrique » sur laquelle pour la première fois Ibrahima joue de la guitare et chante en français.
Liberté est co-arrangé par les musiciens de Mandingue Foly, chacun apportant sa patte et sa créativité. 
Ils sont accompagnés par des invités exceptionnels : Jan Wouter Oostenrijk (guitare électrique), Fatime Songoro (alto saxophone) et Marie Adama Demba Guaye (chœurs).
Cet album est une invitation au voyage, à la rencontre scénique et à l’espoir que les humains fassent comme les musiques : qu’ils se mêlent et célèbrent la liberté.

Sampling Is Beautiful est un concept vidéo et scénique autour du « sample » : l’échantillonnage sonore .

Né en 2017 à l’occasion du Jazz à Vienne, le concept Sampling Is Beautiful a fait ses armes en collaboration avec la salle de concert Le Périscope à Lyon.

En effet chaque mois, Zajazza a commencé par sampler la programmation du mois à venir pour en faire un nouveau morceau avec un invité choisi dans cette même programmation.

Depuis l’oiseau est sorti du nid, et l’équipe a réalisé plusieurs épisodes originaux dans plusieurs villes et salles de concerts, avec un format long à New York, un live à l’Auditorium de Lyon, une semaine de sampling au festival Sunnyside de Reims, un sampling spécial Emmaus …

La scène étant aussi leur terrain de jeu, Sampling Is Beautiful est désormais également un trio Jazz-Hiphop composé de Yacha Berdah (trompette, basse, looper), Japhet Boristhène (Batterie,rap), Zajazza (platine, sampleur, clavier).

Avec ce trio ils ont joué à Jazz Valthorens, Institut Lumière, Jazz à Vienne, Sunnyside festival…et proposent le parfait mélange de l’art du beatmaking et du jazz. 

Pauline Le Caignec a.k.a. KCIDY est pleine de paradoxes : née sous le signe de l’entre-deux, troisième d’une fratrie de cinq, entre la ville et la campagne, la région Rhône Alpes et la Bretagne, Pauline est traversée par des désirs apparemment contradictoires mais a toujours refusé de choisir et c’est ce qui fait la richesse et la complexité de son parcours. De formation piano classique/jazz, elle commence à écrire des chansons pop seule dans sa chambre sur Live Ableton et c’est au sein de la scène indie DIY de Lyon que son côté touche-à-tout a pu s’épanouir, entre le son et l’image : multi-instrumentiste, elle compose pour la vidéo, joue pour le théâtre, réalise des clips, alterne projets collectifs et solos.

A Lyon, elle rejoint le groupe Satellite Jockey et l’écurie du label AB Records sur lequel elle sort sous le nom de KCIDY deux E.P. et un premier album, Lost In Space. En parallèle elle compose et joue de la batterie au sein de Tôle Froide, groupe de synth-punk au succès fulgurant qui devient rapidement culte auprès des fans du genre.

Le second album de KCIDY sort sur le label Vietnam au printemps 2021. Une succession de chansons pop où la mélancolie est toujours présente en toile de fond mais dont les textes, cette fois entièrement en français, sont désormais plus ouverts sur le monde.

On y sent l’influence de la nature et de cette campagne ligérienne qui l’entoure désormais, et cette tension permanente entre l’avenir et le souvenir, le collectif et l’intime, les amitiés heureuses et déçues. Un son toujours instinctif qui se veut radicalement personnel et hors de toute influence consciente, profondément sincère et libre, à l’image de la musicienne.

Tout ceci n’est que le début car Un nouvel album se prépare pour 2023..

Imprévisible, inclassable, une seule chose est sûre, Pauline ne sera pas là où vous l’attendez.

Dix ans que Mélanie Virot et Maël Salètes unissent la harpe à pédale et la guitare électrique pour créer leur musique, puisant leur inspiration dans les airs traditionnels d’un pays qui n’existe pas.

Traquant inlassablement la magie du presque rien avec deux instruments que tout éloigne à priori, ils multiplient les tournées dans des endroits inattendus. De cette confrontation a émergé une sorte de post-rock de chambre, hymne punk contemplatif à des musiques africaines de cercle polaire, une bande son modale et hors modes d’un long rêve éveillé.

Sept ans après son premier album, trois ans après « Memories To Come » (réalisé par John Parish), le duo a conçu ce troisième disque, « Dans Le Lieu Du Non-Où », intégralement chanté en français et enregistré maison. De danses d’envoûtement en ballades de fin du monde, ce nouveau répertoire fait la part belle aux tourneries du jeli n’goni (luth malien), tandis que la harpe emprunte saturation et ruptures à la guitare électrique. Le son brut et sans artifice offre une immersion totale dans ce que le groupe génère de mieux sur scène, où le duo est désormais accompagné d’un percussionniste, Léo Dumont (Pixvae, Chromb, Kouma, Polymorphie…). La langue accentue ce fort sentiment de familiarité, qu’on peut éprouver parfois en découvrant un paysage pour la première fois.

Le trio crée de nombreux moments imprévisibles : d’une part avec la batterie, lorsque les rythmes sont brisés par de brefs accents explosifs ou se terminent par des pauses soudaines. 
D’autre part, avec les sons des disques vinyles, les bribes de bruits, les bleeps, les clicks et les cuts. 
A cela s’ajoutent des minutes minimalistes au piano, brisées par des accords puissants et fulgurants, puis des scènes fines et silencieuses sont remplacées par des grincements bruyants provenant de l’intérieur du piano : de la musique improvisée en toute puissance.

• Avec la pianiste française Sophie Agnel, le platiniste suisse Joke Lanz et le batteur américain Michael Vatcher.

En provenance de Slovénie, Širom impose une ligne musicale marquée par les folklores du monde et l’état de transe.
Le trio construit un univers musical à la croisée des chemins folk, traditionnel, jazz et world. Des influences multiples pour une identité forte. Sur la scène du Péri ils vous inviteront à un voyage intérieur et solliciteront les émotions profondes et authentiques. Une expérience autant musicale que psychédélique.

David Bressat est de retour avec un nouvel opus, « Constellation » à travers lequel le pianiste démontre à nouveau l’alchimie si particulière qui le lie avec les musiciens qui composent son quintet. Ce concert sera l’occasion de s’aventurer dans les nouvelles contrées musicales explorées sur ce nouvel album et de témoigner de la finesse de l’écriture de ce pianiste phare de notre région.

• Avec David Bressat (piano) Eric Prost – (saxophone ), Florent Nisse (contrebasse ), Aurélien Joly (trompette) et Charles Clayette (batterie)

Le trio français EYM forme l’équilibre parfait entre des rythmes formidables et de belles harmonies donnant forme à un jazz moderne : après s’être rencontrés en 2010, Elie Dufour (piano), Yann Phayphet (batterie) et Marc Michel (contrebasse) se sont rapidement fait une réputation à travers le monde pour leur style ludique et sensible.

Ce concert au Périscope s’inscrit à la suite de leur tournée en Colombie. Ils ont rencontré la chanteuse colombienne Luna Hernández à Bogota et l’ont invité sur scène lors de leur concert au Planétarium de Bogota, ils continuent leur route ensemble et partagent leur ferveur musicale sur scène.

Les trois musiciens s’amusent avec des éléments de langage de musiques venant des quatre coins du monde. Le trio crée sur scène un univers captivant, amusant et surprenant qui vous invitera avec légèreté au voyage et au lâcher prise.

Le 13 mars, Magnifique Printemps vous propose une rencontre avec la poétesse Agneta Falk et le musicien Antoine Colonna aka SCHVÉDRANNE. La poétesse de San Francisco y déclamera des poèmes issus d’une anthologie de la poésie contestataire américaine (dont la parution est prévue pour 2024 aux Éditions de La Rumeur Libre) tandis qu’Antoine Colonna mêlera musique et poésie avec son projet « Schvédranne, sans barrière musicale, ni frontière stylistique ».

Il accompagnera Agneta Falk à la guitare électrique, accompagné de quelques machines électroniques.

Ils seront accompagnés sur scène par Céline Frezza qui lira une traduction de certains poèmes.

Distribution :

Agneta Falk : Voix US

Céline Frezza : Voix FR

Antoine Colonna : Guitare électrique et machines électroniques.

I'm free : concert gratuit
Thibault Florent expérimente sur des chemins reliants musiques amplifiées, cycliques et percussives. 
So-lo-lo est le nom du solo de guitare 12 cordes qu’il a imaginé. La guitare, préparée et amplifiée, devient l’instrument percussif d’une musique polyrythmique.
Un geste, un son.
On se frottera les yeux devant ce gars seul au timbre d’orchestre, occupé des pieds à la tête, tricotant la douze-cordes dans la longue résonance de gongs DIY.
Ou bien on les fermera, les yeux, pour se laisser prendre par l’espace sonore d’une densité inégalée, oscillant entre sereines ondes et soudaines lames de fond.

Si votre curiosité se portent sur des formes musicales moins conventionnelles, elle sera alors piquée à la vue du concert de Christian Rollet, Jean-Marc Foussat & Quentin Rollet. Ils célèbrent ensemble activement la continuité de l’avant-garde musicale, en offrant un point de vue unique sur la libre « Free Musique » française.


Voici une nouvelle aventure pour le 5tet Papanosh : « a very big lunch », rencontrer Jim Harrison, ou plutôt ce qu’il a enfanté d’histoires, de personnages et d’images. Jouer la bande son des films qui bouillonnent dans ses livres.

Saluer les musiques folks, free, jazz, improviser à foison, raconter des histoires, dessiner des personnages et partager tout cela, comme un bon gueuleton.

Un sacré gueuleton !

Cette soirée réunira deux ovnis du jazz et de la folk. Le saxophosite Lionel Martin allumera la mèche par un solo dont le minimalisme empreinte au punk, avant de passer le flambeau à l’américain Eugene Chadbourne en personne, circassien du banjo, poète clown électrique venu des milles univers de la country.

20 ans de Modern City
Allié de la scène rock depuis plus de 20 ans, Modern City – la boite à badges la plus cool de Lyon – n’a pas seulement confectionné des tonnes de badges et magnets qui ont accompagné les groupes dans leur histoire, c’est aussi la ruche d’un paquet de musiciens de la scène punk rock de la région. 
Pour ces 20 ans, Modern City convie tous les musiciens passés qui sont passés par la boite, sur scène avec leur groupe pour célébrer cet esprit d’équipe & l’histoire de ces groupes.

BLEAKNESS – Post-punk – https://bleaknesspunk.bandcamp.com
Formé en 2017 à Nantes, puis relocalisé à Lyon courant 2018 avant de s’établir à Paris en mai 2022, Bleakness a beaucoup évolué depuis leurs premiers concerts. Initialement influencé par le hardcore américain et le punk anglais, les morceaux du trio sont au fur et à mesure assombris, posant une ambiance de plus en plus froide et sous tension. Leur album Life At A Standstill sorti en juin dernier ravira les fans de Killing Joke, New Model Army et autre T.S.O.L.

RAINCHECK – Punk-hardcore mélodique – https://raincheckcool.bandcamp.com
Raincheck se forme en 2014 à Lyon, autour de cinq garçons pas plein d’avenir mais habitués du circuit punk-rock depuis plus de 15 ans et influencés par la vague punk-rock/hardcore mélodique américaine des années 90/2000 (NOFX, Descendents, Lifetime, Kid Dynamite, Shook Ones, Propaghandhi…). Environ 80 concerts plus tard et deux EP 6 titres sortis, ils prévoient de sortir un album début 2023.

ÉPAULE TATTOO – Punk Rock Psychadélique – https://epauletattoo.bandcamp.com
Qu’auraient fait Ben, Phil et Seb Tattoo si leur grande sœur Paule ne les avait pas surpris entrain de s’égosiller au fond d’une cave profonde et humide ? Du métal surement… Mais du mauvais métal. Au lieu de ça, ils font du mauvais punk parce que le punk se doit d’être mauvais, subversif et sale. Mais vu qu’ils sont gentils et propres, y a des fois où ça fait un peu pop…

MEURTRIÈRES – Heavy-metal – https://meurtrieres.bandcamp.com

Formé en 2018 sur les cendres encore chaudes de Pinku Saido et Gasmask Terrör, MEURTRIÈRES joue du heavy metal dans la lignée d’Iron Maiden, Judas Priest ou Mercyful Fate. Après un premier album sorti en 2020 et un changement de line-up en 2021, le groupe assiège 2023 avec un nouvel album intitulé Ronde de Nuit.

COMMANDO – Punk 80’s – https://nefastecommando.bandcamp.com

Commando n’a pas bio car Commando n’aime pas les bios. Commando ne sait que jouer du punk et chanter la déliquescence de notre monde.

CONTRACTIONS – Punk-garage – https://contractions.bandcamp.com
Quatuor basé entre Lyon et Besançon, Contractions met à profit les éponges musicales qu’ils ont toujours été dans le seul et unique but de faire battre les cœurs et secouer les têtes à grands coups de tubes mélancoliquement rocailleux.  En plus des six titres de leur première démo sortie fin 2017 qui incitent à chanter en cœur, ils sortent deux ans plus tard un premier LP au titre prophétique de « Demain est annulé ». S’en suit un split 12″ avec les Lyonnais de The Horsebites en 2021 et les 3 morceaux récemment enregistrés devraient voir le jour sur un autre split 12″, cette fois avec les new yorkais de Savak. Comprenant des membres (ou anciens membres) de Baton Rouge, Irradiates ou Whoresnation, Contractions se situe musicalement entre Compulsive Gamblers, The Babies, Marked Men ou encore Hot Snakes… Sans renier leur attachement pour l’emo français !

Berceau des Volontés Sauvages – Kraut-noise-rock-electro – http://berceaudesvolontessauvages.bandcamp.com
Berceau des Volontés Sauvages est une entité à trois têtes. Deux musiciens et un vidéaste au service d’une musique instrumentale immersive naviguant entre sons électroniques, kraut, rock psychédélique et ambient.

The Bridge est né de l’idée d’Alexandre Pierrepont, chercheur et universitaire, d’entretenir une connexion entre musiciens et musiciennes et faciliter le passage d’un continent à l’autre. S’en suit de nombreuses collaborations France-Chicago pour des tournées uniques et des rencontres. L’occasion pour les artistes de se découvrirent et de prendre le temps : le temps de jouer, d’échanger, de se rencontrer et d’improviser.

Le mardi 24 janvier 2023 nous accueillerons The Bridge #2.9, ensemble composé de : Ugochi Nwaogwugwu (chant), Sakina Abdou (saxophones, flûte à bec), Julien Pontvianne (saxophone ténor, clarinette), Julien Chamla (batterie, percussions) et Coco Elysses (percussions, diddley bow, voix).

Découvrez une collaboration unique entre le violoniste Clément Janinet et le violoniste malien Adam Sidibé pour former un quatuor qui rend hommage au Sokou, violon traditionel d’Afrique de l’Ouest. Une entreprise artistique audacieuse où se mêle des répertoires variés qui donnent une liberté totale aux instrumentistes de ce quatuor.

Avec : Clément Janinet (violon) Adama Sidibé (sokou), Clément Petit (violoncelle), Hugues Mayot (clarinettes), Joachim Florent (contrebasse )

Release Party
Le mercredi 1er février nous accueillerons un concert singulier pour la sortie de 4 titres de Yeni Gayda ! D’après un répertoire de musiques traditionnelles turques, grecques, tziganes… D’abord en trio plusieurs années, le groupe s’élargit en 2022 avec Guilhem Meier à la batterie et ses fantastiques objets sonores. 
Du chant émerge l’émotion et le groupe à l’instrumentation unique fait naître de son travail une identité nouvelle issue de la ligne des ancêtres, ceux qui nous ont transmis l’ardeur de la musique. 


• Avec sur scène Léonore Grollemund (violoncelle), Léa Maquart (kaval turc, ney), Nicolas Poisson (chant, saz électrique, dispositif analogique) et Guilhem Meier (batterie, dispositif percussif).

Composé de Mélissa Acchiardi au vibraphone et percussion, Damien Sabatier aux saxophones et de Pascal Berne à la contrebasse, Trio Moondog, trio chambriste propose une relecture inventive de pièces choisies dans l’œuvre de Louis Thomas Hardin, dit « Moondog », le viking de la 6ème avenue ou encore un des musiciens les plus surprenants du XXe siècle.

Les Haïkus de Trio Moondog sont des petites formes musicales légères, montées sur des temps courts, à apprécier le jeudi 2 février au Périscope.

The Bridge, au carré. Ce projet est le deuxième groupe issu de la deuxième génération d’ensembles collaboratifs franco-américains que The Bridge met en orbite. Suivant une intuition initialement proposée par le guitariste Raymond Boni, Mai Sugimoto, Anton Hatwich et Paul Rogers ont pris le temps, en novembre 2019 à Chicago, d’explorer les possibilités d’un vaisseau à majorité d’instruments à cordes et sans claviers, sans percussions, piloté simultanément par quatre individus aux personnalités artistiques radicalement différentes. L’idée était de créer une musique qui se débattrait avec les idées de déploiement et d’enchevêtrement, du son comme un ensemble de lignes et de torsions. Des points éloignés dans l’espace et dans le temps peuvent toujours être reliés, quand bien même on ne s’y attendrait pas, surtout quand on ne s’y attend pas :

L’improvisation étant un lien fondamental pour la coexistence des êtres, ce qui m’intéresse le plus dans cette rencontre franco-américaine, c’est le parcours singulier de chacun, et la qualité inédite de cet événement. Dixit Boni
Mai Sugimoto (saxophone alto)

Raymond Boni (guitare)

Paul Rogers (contrebasse)

Anton Hatwich (contrebasse)

Percussions amplifiées
La musique d’ I N S T I T U T R I C E évoque par moments les gongs horizontaux appelés kong vong thom de l’orchestre cambodgien, ou les fulgurances d’un ensemble de gongs kolintang de Mindanao, au sud des Philippines. On est ici dans le monde flottant d’un folklore imaginaire dont les sonorités évoquent ces musiques traditionnelles asiatiques, mais étrangement propulsé par un drive puissant, une mise en place au cordeau et troublé de sons électroniques discrets. Les traitements sonores utilisés ne sont jamais en contradiction avec le son des percussions, ne sont jamais incongrus mais plutôt un prolongement naturel qui augmente ou amplifie les percussions. On pourrait dire que, en terme de traitement sonore, I N S T I T U T R I C E travaille toujours « dans le sens du bois ».

À la première écoute, l’album ‘Cohortes’ paraît massif et monolithique, mais il recèle quelques étapes clés et quelques balises pour orienter l’écoute. Le morceau intitulé ‘Werner’, à près de 11 mn 30 s, est la pièce de résistance de Cohortes. Un feu d’artifice de gongs et de cymbales sur fond de drone mystique, c’est un morceau monumental et très prenant. Le cinquième morceau, intitulé ‘Jacques’, exploite des nuances un peu différentes de ce qui précède, avec des percussions frottées à l’archet, des cymbales de l’opéra chinois, un synthétiseur plus présent que sur d’autres morceaux.

On est ici dans le monde flottant d’un folklore imaginaire dont les sonorités évoquent ces musiques traditionnelles asiatiques, mais étrangement troublé de sons électroniques discrets.
 
Éric Bentz (percussions, sons environnementaux, traitement sonore)
Jean-Baptiste Geoffroy (percussions, sons environnementaux, traitement sonore)

Tsapiky malgache sauce free jazz
Après plusieurs années d’échanges avec des musicien·ne·s de tsapiky malgache, Electric Vocuhila est parti à Tuléar, le berceau de cette musique, pour monter un nouveau répertoire avec Behaja, un des groupes phares du tsapiky d’aujourd’hui.

C’est donc une création inédite entre un 4tet français qui s’inspire depuis une dizaine d’années de musiques africaines contemporaines en les alliant à un héritage (free) jazz, et les musicien·ne·s de Behaja, qui jouent depuis plus de 10 ans dans les bals-poussière du sud-ouest de Madagascar.

Double rythmique survoltée, chant, saxophone et guitares électriques aux sonorités saturées parfois proches de la rupture, aux lignes mélodiques très découpées ou au contraire aériennes, le mélange est explosif et proche de la transe, à la fois ancré dans la tradition du tsapiky et profondément moderne.

Ekaly (chant)

Behaja (guitare)

Bony (batterie)

Maxime Bobo (saxophone)

Arthur Delaleu (guitare)

François Rosenfeld (basse)

Etienne Ziemniak (batterie)

La musique de Joanna Duda est comprise au sens large comme expérimentale avec des éléments d’improvisation, de jazz et d’IDM. Joanna Duda Trio a été formé à la fin de 2017 dans le cadre du travail sur mon album solo KEEN. À l’origine, je supposais que je jouerais du matériel solo avec le groupe, mais j’ai vite réalisé qu’avec l’élément humain externe, je voulais créer autre chose. En conséquence, nous avons créé un son acoustique dans lequel le rythme domine et l’électronique est la quatrième personne à égalité de droits dans le groupe.

Les compositions ont été créées progressivement au fil des années. La première est PVSM, dont le riff m’est venu lors d’un soundcheck en 2016. La plus récente est Grasshopper que j’ai écrite lors de ma résidence à Vaanta, en Finlande, fin 2019. Le postulat du travail de cette équipe est la pleine conscience et délibérément lent/sans stress, nous sommes donc entrés en studio pour enregistrer FUMITSUKE en décembre 2020. En un jour et demi, nous avons enregistré le matériel – plus d’une heure de musique. Toutes les chansons, sauf The Mark, sont mes compositions.

 
Joanna Duda (piano)

Maksymilian Mucha (contrebasse/fx)

Michal Bryndal (batterie) 

Aluk Todolo + Mütterlein
En partenariat avec Bigoût
Depuis ses débuts en 2006, le trio Aluk Todolo a crée son univers propre. Dans l’imagerie, l’inspiration comme dans la finalité, le groupe est encore aujourd’hui assimilé à son héritage black métal. Mais là ou le trio aurait pu naviguer dans une redite trop souvent usée, il a finalement tout de suite réussi à se départir de cet ce dernier pour développer sa propre vision esthétique. Artiste d’origine lyonnaise, Mütterlein se fraie son propre chemin vers la lumière avec un projet radicalement à part : un son noise, doom et post-metal qui prend une nouvelle forme sur son second magnifique album  » Bring Down The Flags ».

Attracteur Etrange
Géométrie variable
Une soirée de musique improvisée et composée en temps réel.

Vivre et partager une expérience unique où l’imprévu et l’accident deviennent un cadeau, voire un nouveau présent… C’est la ligne que défend cet ensemble à géométrie variable, dirigé par Benjamin Nid et composé d’une quinzaine de membres de tous horizons – jazz, classique, contemporain, rock. Prenant comme modèle l’effet papillon, phénomène de réactions en chaîne dans lequel chaque évènement influe sur le suivant, L’Attracteur Etrange brosse un véritable éloge de l’instant. De la folie affranchie à la poésie sensible, du groove à l’état pur à l’assemblage de textures, il s’affranchit des codes stylistiques pour former tour à tour un cœur féroce ou un bruissement léger.

Duo co-fondateur de la Grande Triple Alliance Internationale de l’Est composé de Seb Normal (The Feeling Of Love, Crash Normal, le chômage, le chemin de la honte… ) et de Liliane Chansard (le chemin de la honte, fast arbeït babies), Delacave a commencé à faire de la musique dans un espace très intime, une chambre, en se découvrant et rassemblant tout l’imaginaire nécessaire à sa lente gestation pour initier la Gloomy Wave. Leur mélodies s’assemblent, leurs harmonies sonnent et dissonnent, les voix s’ajustent, la fébrilité devient force, ils relient alors par un grand écart flou, l’impressionisme coloré et le baroque noir.

Eclats d’ARFI
Lors de cette soirée fleuve, l’ARFI invite 6 artistes choisis pour leurs singularités et leur talent : Olivier Benoit (fondateur de la Pieuvre, directeur artistique de l’ONJ de à 2014 à 2018), Aïda Diop (Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp), Sean Drewry (grand8), Amanda Gardone (Frisette, Le UN Ensemble), Caroline Gesret (Résonance Contemporaine), Jessica Jargot (Le Théâtre Oblique, Compagnie Sagittarius A*) et Quentin Rollet (Nurse With Wound, Akosh S.).

Deux performances additionnelles viendront bousculer la soirée et faire perdre tous repères entre le subversif et le consensuel : Jean Bolcato viendra chanter et susurrer l’amour à l’italienne, tandis que les outrances de William Burroughs seront passées à la moulinette d’une très grosse formation.

Combinaison inédites de fortes personnalités musicales, on y retrouve néanmoins Robin Fincker,
Mathieu Werchowski et Fabien Duscombs du groupe Bedmakers auxquels s’ajoutent la bassiste
électroacoustique aux milles timbres Fanny Lasfargues et de la performeuse vocale Natacha Muslera,
dont la voix en direct se mêle avec d’autres, enregistrées au gré des pérégrinations du groupe.
Choeur amateur, voix amies ou fraîches rencontres, Future Folk Stories édifie une banque sonore
originale, constituée de fragments de mélodies, d’extraits de textes et d’entretiens enregistrés
portant sur les questions du rapport individuel au folklore et des projections de ce qui pourrait être
nos musiques traditionnelles du futur. Cette matière sonore, pilotée et re-travaillée en direct par
Mathieu Werchowski décuple les interactions possibles et multiplie les interlocuteurs au sein du
groupe.

Chansons découpées puis ré-assemblées dans le désordre, phrases parlées servant d’interrupteurs
à déclenchement d’improvisations multiples, ritournelles anglo-saxonnes détournées, hymnes
traditionnels composés dans l’instant et égrenés sur les retransmissions de “field-recording”
composent ce nouveau répertoire. Le quintet ébauche ainsi les contours fuyants d’un personnage
qui ne serait autre que la musique folk “en personne” dans la multiplicité de ses représentations et
de ses rôles ; à la fois actuelle et anachronique, désuète et par nature perpétuellement renouvelée.
Future Folk Stories cherche à questionner un certain rapport au temps, résolument non-linéaire en
faisant cohabiter des mélodies pluri-centenaires avec l’improvisation libre, dans un dispositif électroacoustique où la voix et ses différents avatars prennent un rôle central.

Robin Fincker (saxophone ténor / clarinette)

Mathieu Werchowski (violon / machines)

Natacha Muslera (voix / poste radio à ondes-courtes)

Fanny Lasfargues (basse électroacoustique)

Fabien Duscombs (batterie)

Anaëlle Marsollier (sonorisation)

Send Me Love Letters, c’est un rock sombre et brutal qui s’éprend d’une voix claire et sensible. Quatre humains, le cœur au bord des lèvres, qui se battent et s’ébattent autour d’une romance actuelle. Dans un monde où l’on se lasse et se remplace en quelques clics, « Send Me Love Letters » n’est pas une demande, c’est une nécessité. Un retour urgent à l’essentiel, à la vie comme à la scène, où au son des amplis à lampes vintage, les riffs saturés et les percussions lourdes se donnent comme des baisers.

Gabrielle Grau (chant lead, guitare électrique)

Loïc Largot (guitare électrique)

Simon Eichenberger (basse)

Pierrick Samson (batterie)

Mikko Innanen Autonomus désigne à la fois le nouveau groupe du saxophoniste finnois, le corpus de compositions qu’il interprète et la philosophie musicale qui l’anime. Les musiciens nordiques de premier plan qui forment ce quartet explorent et restituent avec autonomie, cette quarantaine de pièces composées par Mikko Innanen durant l’hiver 2018-2019. Conçu comme un journal intime musical manuscrit et à forte teneur graphique, cet ensemble a fait l’objet d’un triple cd paru en novembre 2019 sur le label Fiasko Records. La véritable tournée marathon du groupe à l’automne 2021 a conforté la singularité de cette formation au caractère trempé, imprévisible et toujours passionnante.

Mikko Innanen (sax alto, baryton, sopraniino)

Håvard Wiik (piano)

Antti Lötjönen (contrebasse)

Peter Bruun (batterie)

No Tongues explore ce rapport sensible au monde qui nous entoure dans une transposition musicale, où l’on retrouve des questionnements sur le voyage, la place de l’individu, les conséquences de ses actions sur le global, la présence au monde… C’est une invitation à ralentir le temps, pour continuer à imaginer et à rêver, portée par le processus de création qui est au cœur de la démarche de No Tongues, avec toujours l’envie commune de créer une musique immersive et inédite.

L’ADN du groupe lui permet d’envisager ses recherches sonores à travers le prisme des sons issus du quotidien, du proche, comme une suite logique aux sillons précédents, afin de continuer son évolution, sa mutation. Un processus renouvelé dans lequel la création phonographique prendra une place nouvelle et fertile, l’objectif devient de faire de chaque concert un moment complètement inédit et surprenant, sur scène comme dans le public. Une autre façon de célébrer “l’ici et maintenant”.

Ronan Courty (contrebasse, claviers)

Matthieu Prual (saxophone alto et soprano, clarinette basse, dispositif électroacoustique,

résonateurs)

Ronan Prual (contrebasse, percussions)

Alan Regardin (trompette, électroniques)

L’intrépide collectif de la Cie 4000 nous présente une nouvelle créature hybride dont elle détient les secrets de fabrication, cachés quelque part entre les eaux de l’Océan Indien et des Mascareignes. Entre le colombian crunch de Pixvae et les énergies créoles du maloya de l’île de La Réunion, un alliage brûlant s’est opéré entre des musicien.ne.s prêt.e.s à bousculer les codes.

An’Pagay forme une nouvelle famille, grande ouverte aux traditions qui la font grandir et aux additifs qui la font vibrer. Le nom de cet opus fondateur n’est pas anodin. Somin Tegor est une rue de St Benoit, commune de La Réunion où le compositeur-chanteur-musicien Luc Moindranzé Karioudja a grandi avant de s’envoler vers d’autres horizons… Cela sonne comme un ancrage aux traditions populaires des kabars réunionnais, un rappel au terreau fertile qui permet cette embardée vers ce nouveau maloya électrique mâtiné de post rock et d’autres épices improbables.

Aux lignes mélodiques complexes et mouvantes écrites par Luc Moindranzé Karioudja, c’est l’expert ès crunchs musicaux Romain Dugelay qui opère pour offrir des contrepoints polyrythmiques du meilleur de ses tonneaux. Avec eux, une joyeuse d’écumeurs des mers chaudes : une rythmique démentielle avec deux batteurs d’exceptions, un bassiste aux grosses cordes sensibles et deux magiciennes en chanteuses.

Luc Moindranzé Karioudja (chant et compositions)

Margaux Delatour (chant)

Cindy Pooch (chant)

Léo Dumont (batterie)

Wendlavim Zabsonre (batterie)

Damien Cluzel (basse)

Romain Dugelay (sax alto, arrangements et direction artistique)

Cela fait maintenant 10 ans que le Possible(s) Quartet trace sa route. Rémi Gaudillat, Fred Roudet, Loïc Bachevillier, et Laurent Vichard ont monté leur ‘’atelier des possibles’’ pour y construire des rêves dans l’esprit d’une fanfare poétique et chambriste – comme un quatuor à cordes mais à vents –, alliant le tranchant des cuivres à la chaleur boisée de la clarinette basse. Un jazz work-shop aux mélodies et harmonies soignées, sur lesquelles les envolées lyriques et expressives des solistes prennent toute leur place. Une architecture sonore éphémère mais qui dévoile toute l’alchimie des timbres, leur matière, leur relief et leurs couleurs, tantôt intimistes et mélancoliques, tantôt explosifs et électrisants, dans une ambiance joyeusement désordonnée.Ça fanfaronne, ça murmure, ça chante, ça chuchote, ça éclate, ça souffle. Il y a derrière tout cela le plaisir non dissimulé de raconter des histoires et la complicité jubilatoire de quatre musiciens explorant tous les possibles de leur instrument, pour donner à entendre une musique qui parle à tous.

 
Rémi Gaudillat (trompette, bugle)

Fred Roudet (trompette, bugle)

Loïc Bachevillier (trombone)

Laurent Vichard (clarinettes)

Le but du projet de l’Astro-Symphonie est de vulgariser les dernières découvertes scientifiques en associant des astrophysiciens, un compositeur et un orchestre ou un big band. L’objectif est donc de créer, de jouer une œuvre qui permette de faire ressentir au plus près les processus physiques qui sous-tendent l’évolution de notre univers.

Avec Pierre BALDY-MOULINIER (Trombone, euphonium, bugle, flûte à bec), Antoine BOST (Sax ténor, soprano), David BRESSAT (Piano, claviers), Jean CROZAT (Trombone basse), Olivier DESTEPHANY (Trombone, euphonium), Sylvain FELIX (Sax baryton, alto, clarinette basse), Hervé FRANCONY (Sax alto, clarinette, flûte), Hervé HUMBERT (Batterie), Christophe METRA (Trompette, bugle), Basile MOUTON (Contrebasse, basse), Vincent OLLIER (Tuba, euphonium), Guillaume PLUTON (Trompette, bugle), Boris POKORA (Sax alto, clarinette, soprane, flûte), Eric PROST (Sax ténor, soprano), Fabien RODRIGUEZ (Percussions), Hervé SALAMONE (Trompette, bugle), Bruno SIMON (Guitare), Vincent STEPHAN (Trompette, bugle).



Teis Semey Quintet
Sélectionné dans le cadre du projet Footprints, le quintet du jeune guitariste Teis Semey fait partie des formations les plus excitantes de la scène jazz européenne. Avec son nouvel album Mean Mean Machine, le musicien d’origine danoise, installé aux Pays-Bas, renoue avec ses racines scandinaves. Un programme musical passionnant et une fraîcheur artistique qui mise sur la collision : la dynamique brute et les éléments d’avant-garde se mêlent à l’énergie indie rock et l’attitude punk, pour s’offrir même parfois des phases de musique classique ou méditative. L’amour et la passion pour l’improvisation avec lesquels ces musiciens entrelacent toutes ces composantes promettent un concert explosif que vous n’êtes pas prêts d’oublier…

Avec Teis Semey (guitare, compositions), Alistair Payne (trompette), José Soares (saxophone alto), Jort Terwijn (contrebasse), Sun-Mi Hong (batterie).

The Monsters
Thank god, ils sont de retour ! Malmenée par une crise covid qui n’en fini(ssai)t plus, la maison Voodoo Rhythm sort la tête de l’eau et renvoie ses meilleurs ambassadeurs faire le rock aux quatre coins de l’Europe …

Rythmiques sauvages, riffs assassins et bonne humeur communicative, les MONSTERS sont depuis 1986 les maîtres-artisans d’un trash-blues aussi sauvage que jubilatoire !

Auteurs en 2021 de leur 8ème album studio « You’re class, I’m trash », c’est sur une scène qu’ils n’ont encore jamais foulé à Lyon (celle du Périscope) que nous les retrouverons Vendredi 9 Décembre … Immanquable !

Le saxophoniste slovène Igor Lumpert revient avec un troisième volet de son projet Innertextures, soutenu par le label Clean Feed. Exilé depuis 15 ans à New-York, ce saxophoniste se démarque avant tout par un style empreint de groove et d’une verve assez sauvage qui offre à chaque fois de vraies surprises musicales. On pense notamment à ce style hybride entre be-bop sur-vitaminé et clin d’œil funk vraiment étonnant. Igor sera cette fois-ci accompagné Greg Ward à l’alto sax, Masa Kamaguchi à la contrebasse, Kenny Grohowski à la batterie et Jeff Miles à la guitare.
Beau programme !

Pierre Bastien
Voilà plus de trois décennies que le musicien français Pierre Bastien, qui partage son temps entre les Pays-Bas et l’Espagne, peaufine un univers esthétique qui n’appartient qu’à lui, un monde d’instruments qu’il invente et assemble lui-même à base de Meccano et de petits moteurs, machinique et fragile, modeste et démiurgique. S’il a pu prendre par le passé des proportions spectaculaires, son « Mecanium » est aujourd’hui restreint à une structure en forme de derrick à laquelle il adjoint en direct de petits mécanismes et autres accessoires, prothèses musicales ou non, archet ou élastique.

Bois, métal, savoir-faire ancestral et expérimentations sonores sont réunis dans la musique folklorique et étrange de La Tène. Composé de trois membres originaires de France et de Suisse, leur nouvel album ‘Ecorcha/Taillée’ est annoncé sur le label genevois Les Disques Bongo Joe.

La Tène est un gang psychédélique annulant par la frappe toute frontière entre minimalisme (des motifs) et maximalisme (des effets, du volume, de la patate). C’est du rock d’éboulis rempli de psaumes muets qui vous avance dessus comme un drakkar bourré d’explosifs sur une mer d’huile. Vous en redemanderez !

• Avec Laurent Peter / D’incise (harmonium indien, électronique), Guilhem Lacroux (guitare), Jérémie Sauvage (basse), Louis Jacques (cabrette, cornemuse) et Jacques Puech (cabrette).

SONIC PROTEST LYON
Diatribes, duo genevois d’expérimentation décomplexée et Leila Bordreuil, violoncelliste et artiste sonore franco-américaine pratiqueront des langages musicaux nouveaux.

Amalia Umeda Quartet
Nous vous présentons Amalia Umeda Quartet, quatre musiciens polonais réunit dans un groupe qui a été formé récemment. Leur premier album « Nowoświt » est sorti en avril dernier, il mélange musique illustrative et improvisée. Leur composition musicale unique comprend des notes d’influences traditionnelles slaves et de musique expérimentale mais aussi contemporaine. 

Ce concert fait partie d’une des tournées organisées dans le cadre du projet européen Footprints (Sustainable music accross Europe)

Festival What'Sup
Chicago, place forte d’un jazz protéiforme, tour à tour poignant, free, groovy, planant, et historique. Ce jazz est à jamais lié à l’histoire musicale de cette ville.

Nombreux sont les musiciens importants en provenance de la capitale de l’Illinois. Dave Rempis en est aujourd’hui un incontournable. Saxophoniste au jeu d’une fluidité incroyable, magnifié par un phrasé d’un naturel absolu, mais aussi promoteur de concerts à l’elastic arts, lieu emblématique pour la création internationale, il travaille depuis une vingtaine d’années à son art : une musique toute entière dirigée vers l’improvisation libre, très ancrée dans l’histoire américaine et ouverte sur le monde.

Dans ce quartet, l’un de ses plus beaux projets, Tim Daisy et Frank Rosaly tissent en toile de fond des rythmiques tourbillonnantes pendant qu’Ingebrigt Haker Flaten assure les arrières du saxophoniste. 
Une musique aux frissons garantis !

Avec Plique, octet magmatique de musique improvisée en concert d’ouverture, proposé par des étudiants du CNSMD dans le cadre du Festival What’Sup.

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